Hope.
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Date d'inscription : 25/07/2011
Prénom : ...
Manga(s) préféré(s) : Shamaan King *w*.
Un petit truc à dire ? : Il en faut peut pour être heureux .
| Sujet: « Rêver pour écrire. Ecrire pour rêver. » Lun 25 Juil - 19:59 | |
| Hey hey ! Vous voilà entrez dans mon monde de l'écriture ! (: J'écris pas beaucoup de poème, surtout plein d'histoire " en vrac ". J'ai souvent la flemme de ré-écrire ce que j'ai écris sur papier, sur clavier, mais pour vous, si ça vous fait plaisir d'avoir d'autre extrait de mes écrit, je le ferais ! Demandez moi (; ” « Dès que nous naissons, nous pleurons d'être venus sur ce grand thêatre, de fous. »
UN POEME.________ |
Celui c'est une histoire pour un personnage Rpg, elle est très triste :'3 Mais j'ai pas l'haibitude, d'écrire avec " tu " et " je " donc, désolée si il y a des fautes OO'.
- Spoiler:
Et tu pleures, encore et encore. Tu ne veux plus t'arrêter. Tu es si fragile, que tout ton corps tremble quand tombe sur l'herbe fraiche une nouvelle larme. Tu n'as plus personne pour t'aider à porter ton fardeau beaucoup trop lourd. Plus personne ... Tu n'avais que ta famille. Ton frère, confident de toujours, mort pendant cette bataille. Ta soeur, exemple de toujours, morte pendant cette bataille. Ta mère, douceur de toujours, morte pendant cette bataille. Et ton père, inconnu de toujours, inexistant dans ta vie. Tu ne peux que pleurer. Car ils sont tous morts. Par ta faute ? Peut - être. Pas de chance, tu es trop vieille pour oublier. Ce moment de ta vie restera graver à jamais dans ta mémoire. C'était un triste jour d'automne ...
# Je courais dans la plaine déserte, semant ma fratrie par ma vitesse. Ma soeur hurlait que si elle m'attrapait, elle m'arracherait la fourrure. Je riais au éclat regarda mon frère essayant de me rattrape, tout aussi énervé. Ils avaient de quoi ! Je venais de leur couper un bout de leur fourrure, avec un espèce de truc plat avec une lame au bout trouvé dans la grande plaine. Ma soeur, très soigneuse de son apparence ne la fit pas du tout rire. Quand à mon frère, il me suivait juste pour me faire croire qu'il était mécontent. Mais, lui il s'en contre - fichait royalement ; et puis, il m'adorait tellement. J'étais sa petite soeur à lui, sa pierre précieuse, son bijou. Arrêtant de rire, je pilais net. Une odeur de sang séché et mauvaise se répandait... Ma soeur s'arrêtant, elle aussi, s'apprêtait à me faire une remontante. Elle n'en fit rien. Elle aussi, elle avait sentit l'odeur suspect. Mon frère paniqué, se retourna et alla chercher ma mère. Nous restâmes seules, toute les deux ; silencieuse. L'odeur se reprochait, je tremblais de peur. Je murmurais : « Lala, j'ai peur. » Son surnom, Lala, lui venait de son prénom Nuage de Lavande. Elle me regarda dans les yeux, j'y lu aussi la panique. Ma mère arriva. L'odeur était juste là, derrière la lisière. D'un coup, les félins à l'odeur bizarre sortirent des arbres. Il était une dizaine. Il n'avait pas l'air sympathique. Ma mère paraissait les reconnaitre, elle souffla quelque mot à ma ma soeur et à mon frère. Les yeux de mon frère se rembrunirent, il me regarda, triste comme une pierre. Ma soeur, elle, regarda la troupe les yeux déjà vides, comme si elle était déjà morte. Parce que n'était -ce pas ce qui allait nous arriver ? Ces félins étaient des tueurs. Mon frère, celui qui était, d'une certaine façon, mon autre moitié. Jumeau, nous étions liés plus que n'importe qui. J'aimais ma grande soeur, oui. Mais mon frère occuperait toujours une plus grande place dans mon coeur. Le groupe se rapprochait. Ma mère parla. Je ne sus pas si elle s'adressait au ciel, plus qu'à nous, mais elle dit à moi, et à mon frère. « Aby, Quetz ... partez. Fuyez. Vous devez survivre ! Pitié. » Nous étions les cadets, et ma soeur comprit très bien pourquoi sa mère ne s'adressait pas à elle. De toute façon, elle ne se serait pas enfuie. Si sa mère mourrait, elle mourrait. Je pris mes jambes à mon cou, en soufflant un dernier adieu à ma mère et à ma soeur. « Je ... je vous aime. A bientôt. » Oui, à bientôt. Car ils se reverraient. Aux cieux. Et c'est là, que je fis quelque chose que je regretterais toute ma vie. Je m'enfuie, seule, sans savoir si mon frère me suivait. Étant beaucoup plus rapide que lui, je savais qu'il ne pourrait pas me rattraper. Mais à ce moment là, je ne pensais qu'à moi. Le troupe fonçait déjà vers ma mère et ma soeur. Je tournais les yeux juste à temps pour ne pas voir ma soeur se faire transpercer la gorge par un guerrier ennemi. Elle était surement morte sur le coup. Ma mère se battit plus longtemps .. mais seule contre neuf guerrier aguerri ; la seule issue était la mort. Deux des guerriers nous firent en train de s'enfuir .. ils partirent à notre poursuite. J'accélérais encore. Mon frère perdit la candance. Je ne le vis pas. Enfin,si. Mais trop tard, un des guerriers avait réussi à l'attrapait. Mon frère se débattit comme un diable. Mais le guerrier était trop fort. Non, ce n'était pas un guerrier, mais une guerrière. Elle avait l'allure d'une chef. Etait - ce la meneuse de se groupe sanguinaire ? .. Son frère mourrut entre les griffes de la guerrière, mais avant celà il souffrit beaucoup. La guerrière lui creva un oeil, puis lui arracha une oreille, ensuite elle lui ouvrit le ventre et partit. Oui, partit. Son frère n'était pas mort, mais presque. Le sang continuait à se déverser, mais il ne mourrait toujours pas ; il souffrait atrocement. Cachée derrière un bosquet, les guerriers s'en allèrent, car il ne me virent pas. Quand la plaine fut redevenue complétement calme, je sortis de ma cachette pour me diriger vers mon frère. Celui - ci me regarda d'un seul oeil vitreux. Je dis. « Je suis affreusement désolée, tout est de ma faute .. s'il te plait pardonne - moi. Je t'aime tellement, ne pars pas ... ! » Nuage du Quetzal, car c'est comme ça qu'il s'appelait, soupira de douleur, il dit. « Je ne t'en veux pas ma soeur, je serais toujours au près de toi ... mais achève - moi. Je souffre .. trop. - NON ! Je ne peux pas ! Nooon .. - S'il te plait, c'est ma dernière faveur .. - Je ... oh mon frère, tu .. tu vas tellement me manquer. Je .. - Surement, mais je veux que tu vives. Que tu te crées une vie. Achève - moi. ... S'il te plait. - D'a ... d'accord. »
Et d'un coup de patte violent, je le tuais.
« Je te reverrais. Ce n'est pas un adieu .. Merci. »
Et je m'enfuis, laissant les corps tel quel.
# Eh oui. Ce geste, tu le regrettas toute ta vie . Car si tu avais courue moins vite, tu aurais était là pour aider ton frère à se battre. Et tu seras morte ... avec lui. Mais maintenant, les paroles de ton frère te retienne à la vie ... Tu continue à avancer tant bien que mal. Mais tu pleures. Toujours et encore. Tu as tout perdu .. les larmes ne s'arrêteront - elles jamais ? .. On t'as arraché toute tes raisons de vivre. Sauf une. Les cinq petit mot prononcé par ton frère. Alors, tu vie. Après cette épisode, tu rejoingnis ton clan ; le Clan de l'Aube. Tu lui raconta tout .. ou du moins, le plus important. Ils surent te dire qui était cette féline. Tu pleurais à chaude larme inconsolable .. en entandant son nom, tu t'arrêtas, et tu leva les yeux vers les yeux pour murmurer : « Ce sera ta vengeance. Je mourrais pendant ce combat, mais ce sera ta vengeance, car elle aussi mourra, je te le promets. »
Ton clan essaya de te redonner gout à la vie, mais rien n'y fit. Quand tu ne pleurais pas, tu te claquemurais dans ton silence, adressant de vague sourire vide de sens au membre de ton clan qui te parlais. En vrai, tu ne les écoutais pas, tu faisais semblant en acquiesçant quelque fois, et en écoutant surtout les questions .. ou alors, tu n'écoutais carrément pas et tu ne répondais pas au question, regardant le vide ; ou plutôt revivant un énième fois la scène de massacre. Ton mentor fit de grande prouesse avec toi. Il t'enseigna l'art du combat parfaitement. Mais toujours rien, tu ne parlais pas. Finalement, déjà quatres lunes après le jour, tu fut nommée guerrière sous le nom de Danse des Abysses. Plus connue sous ton surnom, Aby. Ton mentor mourut un ou deux jours plus tard, car l'hiver était là et il avait attrapé le mal vert. Tu fus vaguement triste .. à présent, même la tristesse était superficielle. Tu t'applaudis intérieurement de ne pas t'être lié à ce félin, car celui - ci aussi, t'avais était enlevé.
Tu n'attendais plus rien de la vie. Mais tout de la mort.
Je vous met ce Rp, parsske que personnellement, il m'éclate. J'ai déliré sur ce Rp x D. Bon, bon, il est long hin, mais ne perdez pas courage, ça vaut le coup de le lire entier xP. - Spoiler:
Un rayon de lumière transperça la fenêtre. Liliot ne dormait pas le moins du monde .. il regarda, couché sur le coté en direction de la fenêtre, le soleil faire son apparition. Il était fatigué, triste, et énervé. Il n'avait aucune envie de commencer une nouvelle journée .. Mais bon, hin. Quand il faut, il faut ... ou pas. Liliot se leva avec difficulté. Il entreprit d'ouvrir le velux, puis la fenêtre pour aérer tout ça. Il faisait tout ses mouvements avec mollesse, sachant que la journée serait aussi fade que les autres. Allez, motivé. Motive toi, quoi ! Bon, Liliot. Tu te bouges, ou c'est un coup de pied bien placé que je te donne. " T'es qu'une conscience, tu peux pas me toucher .. ni me taper. " Ça, c'est toi qui le dit. " Eh bah, je sais ce que je dis ! " Bon très bien, je m'en vais .. mais dépêche - toi ! Aie - je besoin de te rappeler tes obligations ? " Non, c'est bon. Je m'en sortirais .. " De plus en plus fréquemment, sa conscience intervenait dans la tête de Liliot, qui n'était pas très content de ce lien cérébrale. En plus sa CONSCIENCE, quoi. C'était pas vraiment normal ... Devenir fou ? Non non ... Bien sûr que non que tu deviens pas fou ! Tout le monde à une conscience ! " Surement pas aussi chiante que toi. T'avais pas dit que tu partais ? " Les yeux de Liliot foudroyèrent son oreiller. Si sa conscience avait été cet oreiller, elle ne serait surement plus une conscience mais un tas de poussière. Bon en tout cas, ça eu le mérite de faire déguerpir sa conscience.
Il sortit de sa chambre, descendit les escaliers en vitesse, prit un bol dans un placard, versa du lait, prit des céréales et s'assit sur une chaise pour déguster son déjeuner. Classique, le journal du jour était posé à coté de lui, il jetta un rapide coup d'oeil. " ON COMPTE UN NOUVEAU MEMBRE PARMIS LES EGMs. LE TRAFIQUE NE S’ARRÊTE PLUS ... QUI SERA LE PROCHAIN ? " . Liliot soupira. Oui, hin .. qui sera le prochain ? Dans une bouchée de céréale, il vit sa soeur, Gin descendre les escaliers aussi vite qu'il les avaient descendu. Elle fit exactement les mêmes gestes qui lui mais s'arrêta quand elle voulut prendre les céréales .. elle n'avait pas vu que son frère était réveillé. « Oh, salut Lil' ! Quoi de neuf ? » Liliot brandit le journal devant Gin. Quand Gin eut finit de lire, il dit « Et toi ? T'as quelque chose de prévus, aujourd'hui ? » « Rien de neuf, et je n'ai rien de particulier à faire aujourd'hui, pourquoi ? » « Ca te dirais de me déposer au Garden ? »« D'acc. ». Il l'a remercia en silence, et puis absorbé par le paquet de céréale, finit son déjeuner en silence.
Quand il fut lavé et habillé, il appela sa soeur qui répondit pas un « j'arrive » habituel. Gin se plaça au volant, et démarra. Liliot entreprit d'allumer la radio, mais le son grésillait alors il préféra éteindre. Sa vie n'avait rien de passionnant .. c'était une simple vie d'ado. Alors, oui, d'accord, il était impérateur. Et alors ? Il avait que seize ans. Et puis, il n'aimait pas du tout son rang. Impérateur ? Et puis quoi encore ? Le monde était pourri, et il avait la responsabilité de le faire devenir meilleur ... tout les humains comptait sur lui et sa soeur. Mais c'est facile pour eux, de fuir. Alors que lui, il ne peut fuir son destin. Il ne eut fuir ses responsabilités ... Et puis merde, à la fin. Liliot voulait profiter de la vie, et ses responsabilités viendrait APRÈS. Liliot ! Non mais ça va pas de penser ainsi ? " Toi, la ferme. " Ouuh, j'ai peur ! " Ben tu devrais. " Fuiou ... «Merci, Gin. » Sa soeur acquiescz, et Liliot sortit de la voiture. Il secoua la main quand la voiture fit demi - tour. Enfin seul. Liliot soupira. En ce moment, c'était le geste qu'il faisait tout le temps ; soupirer. C'est bien de soupirer non ? Non. Liliot leva les yeux aux ciels. Il se retourna, et regarda la lisière de la forêt ... il marcha lentement jusqu'à entré dans la forêt, et s'y enfonça.
Après deux ou trois heures de marches, Liliot s'assit contre un arbre. Bizarrement, il n'était pas fatigué. Il se re leva d'un seul coup, quand juste derrière quelque arbres, un coup de pistolet avait retentit. Dans quel monde vivait - on de nos jours ? Sans la moindre peur, Liliot alla voir ce qui se passait. Une adolescente tenait un pistolet droit devant elle, et quelque mètre plus loin, un autre adolescent nommé Lyam ( Liliot le connaissait ) était étendue, mort, par terre. Ouch. Liliot détailla la jeune fille. De longs cheveux noirs, de beaux yeux violets et un grand sourire psychopathe sur les lèvres .. mais qui était cette .. cette .. cette adolescente dérangée ? Ou enfin, cette folle. Peut - être même cette psychopathe ! On a compris Liliot, c'est bon. Oui oui .. bref. Cette jeune fille venait de tuer un jeune homme. Super résumé, Lil, bravo. " Ta gueule, vraiment. Je suis en pleine réflexion. " Tu réfléchis drôlement doucement, Liliot ! Tu devrais faire marcher ton cerveau plus souvent ... Le fille aux yeux violets tourna la tête vers Liliot. Celui - ci mit pas plus d'une fraction de seconde pour réagir. Il se baissa pour éviter la balle fatale. L'adolescente voulut réessayer, mais elle n'avait plus de balles. " Ouf ". C'est qu'à ce moment, qu'il se rendit vraiment compte de ce que la fille avait fait. Elle avait fait un meurtre. Elle avait tué. Et elle avait voulut recommencer. Liliot frissonna. Ce monde était - il vraiment irrécupérable ? Reprennant son sang - froid, il dit.
«Désolé, t'as plus de balle. Si on en profitait pour parler ? Ce que je veux dire par là, sans essayer de s'entretuer ? Ma première question sera ; qui es - tu ? Et ma deuxième ; pourquoi as - tu fais cela ? »
Liliot s'en un regard de plus vers la fille ( en fait, elle était tellement belle que s'était vraiment dur de la regarder ), s'agenouilla devant le corps de Lyam. Avec précaution, il prit la balle qui était enfoncé dans son dos, puis regarda l'inscription dessus. Il l'essuya avec son tee - shirt, puis la glissa dans sa poche. La fille ne cessait de planter son regard sur lui. Il le sentait. Se relevant, il attendit un réponse de la part de l'adolescente.
Bon, bon, ici c'est ma galerie ouuuverte au commentaire ! Mais pour suivre une histoire en construction, c'est dans ce topic ( wait wait ). Pas de commentaire là - bas, c'est spécial histoire ; 3. Mais donnez - moi ici, tout ce que vous pensez de cette histoire ♥.
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